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 Interview Mathias Arbet-Pont, diplômé du PGE et MSc ICE et co-fondateur de la start-up Neoratech

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Interview Mathias Arbet-Pont, diplômé du PGE et MSc ICE et co-fondateur de la start-up Neoratech

Une nouvelle Success Story in Progress à découvrir !

Entretien avec Mathias Arbet-Pont, co-fondateur de Neoratech et diplômé du PGE et MSc ICE :

 

“Bonjour je m’appelle Matthias. Je suis un ancien étudiant du groupe Y SCHOOLS.

Et j’ai 27 ans et je viens de Savoie. Aujourd’hui, j’ai créé ma société qui s’appelle Neoratech avec mon associé Thomas Cazor, à la fin de nos études.

 

Pourquoi avoir choisi SCBS ?

J’ai choisi l’école de management, à l’époque, après le concours Passerelle, pour la dynamique de cette école et pour son attrait vers l’entrepreneuriat. J’ai toujours voulu entreprendre et créer mon entreprise et je trouvais que l’environnement local était propice à l’ouverture d’esprit, à la création d’entreprise.

 

Ton parcours au sein de l’école ?

Il faut savoir que je suis arrivé en PGE1 donc licence 3, après le concours Passerelle. J’ai intégré le PGE et on était poussé tout de suite à faire de l’associatif, quelque chose qui me plaisait énormément, cette ouverture justement sur la vie étudiante. Donc j’ai pris la présidence d’une association qui à l’époque était le Bdx, le bureau des sports extrêmes. C’était de l’organisation événementiel, des soirées. La première année vraiment ouverte sur les autres et en même temps sur la gestion de projet dès la première année. En PGE2, j’ai intégré le master et je suis parti à l’étranger pour un semestre. Je suis parti à Galway en Irlande. C’était vraiment une aventure superbe où j’ai pu rencontrer des étudiants de partout dans le monde, qui venaient des Etats-Unis, d’Europe, d’Asie. C’était vraiment une très belle ouverture aussi.

J’ai continué aussi l’associatif cette deuxième année parce que j’étais un semestre à l’étranger, un semestre en France. Et pendant ce semestre, je me suis engagé dans l’associatif donc avec un projet qui s’appelait le projet Vertigo qui était l’organisation d’une course de karting dans les rues de Troyes. Et puis en troisième année, j’ai choisi ma spécialisation qui était le master ICE. Ce master met en relation plusieurs écoles du groupe Y SCHOOLS : l’Ecole Supérieure de Design, l’EPF l’école d’ingénieur, puis l’école de management (SCBS).

Ensemble, le but c’était d’innover, de réfléchir à différentes problématiques qui nous nous ont poussé avec mon associé, que j’ai rencontré durant cette année, à créer la startup Neoratech.

 

Qu’est-ce que tu fais depuis ta sortie de l’école ?

Donc j’ai fini le master ICE il y a deux ans et demi. Suite à cela, j’ai pris un poste à la Technopole de l’Aube pour mon stage de fin d’études où j’étais chargé de mission pour le Young Entrepreneur Center qui est l’incubateur étudiant. Pendant six mois, j’ai travaillé dans cette émulation entrepreneuriale qui m’a poussé aussi à continuer mon projet d’entreprise qui est Neoratech, qui est créé depuis un an et demi. Cette startup, c’est en fait une startup qui suit le projet que j’avais fait en master ICE avec mon associé Thomas Cazor.

Donc on crée des produits innovants pour Enedis notamment ; Donc des gants en latex qui intègrent directement une sorte de voltmètre dessus afin de faire les vérifications d’absence de tension plus facilement. On est en train aujourd’hui de poursuivre le prototypage. On a eu notre premier prototype fonctionnel lundi dernier. Et puis on va passer à la phase de normalisation et de vendre très prochainement on espère.

 

Raconte nous une journée type

En fait, il n’y a pas vraiment une journée type. L’entrepreneur, il vit sa vie de façon particulière. Il va aller voir à gauche à droite ce qui se passe, rencontrer beaucoup de gens, faire des salons, s’ouvrir à son environnement de manière à piocher un petit peu des informations à gauche à droite. Ce qui compte c’est l’ouverture d’esprit, c’est la recherche de fonds, de partenaires, de prestataires. C’est vraiment une émulation de choses qui vont créer son parcours et avant tout, les rencontres qui vont lui permettre d’évoluer.

 

Un conseil pour les étudiants actuels ?

Mes conseils avant tout c’est l’ouverture d’esprit. Ce n’est ne pas se limiter à ce qu’on a à l’école mais plutôt s’ouvrir à tout ce qui se trouve autour de nous, que ça soit le sport, le voyage, l’associatif, aller piocher des rencontres et puis des informations tout autour de nous. C’est ça qui permet de créer sa propre personnalité et puis d’évoluer.

 

Si on se projette dans 5 ou 10 ans : tu te vois où ?

Dans cinq ou dix ans je me vois bien en vacances, j’en aurais besoin à ce moment-là. Plus sérieusement, ma société c’est quelque chose qui me tient vraiment à cœur aujourd’hui. Donc effectivement dans cinq ou dix ans on sera sur une certaine concrétisation j’espère. Sinon c’est que j’aurai arrêté d’ici là. Vendre beaucoup de gants en latex. C’est ma passion en ce moment. »

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